Régions décrites dans cet article
Le 8 janvier… et 14h du bus plus tard, après une traversée horizontale du pays, nous arrivons à Nazca, sur la côte, sous une chaleur accablante. En raison des nombreux accidents d’avion qu’il y a eu ces dernières années, nous nous contentons malheureusement d’aller observer quelques lignes depuis un mirador pas très haut (12m)!
L'arbre
Ces lignes énigmatiques et mystérieuses, au milieu du désert, représentent pas loin de 350 dessins mesurant entre 50m et 300m chacun. La majorité d'entre elles ne sont visibles que par voie aérienne, alors plein de questions se posent : comment les incas ont-ils procédés pour les réaliser avec autant de précisions et surtout, pour qui furent-elles tracées? Diverses thèses ont été tissées sur l'origine de ces gigantesques figures, mais à l’heure d’aujourd’hui, les réponses sérieusement documentées se font rares, pour ne pas dire inexistantes...
Et comme ça devient une habitude, nous avons encore eu du mal à trouver un bus pour retourner sur Nazca! Finalement, une petite voiture avec toute une famille dedans s’arrête pour nous ramener. Arrivés au péage, 6 personnes + 1bébé, on se dit qu’on ne passera jamais sans problème… le gars à l’air de connaitre le policier… donc on passe tranquillement! Ouf!!
Et comme ça devient une habitude, nous avons encore eu du mal à trouver un bus pour retourner sur Nazca! Finalement, une petite voiture avec toute une famille dedans s’arrête pour nous ramener. Arrivés au péage, 6 personnes + 1bébé, on se dit qu’on ne passera jamais sans problème… le gars à l’air de connaitre le policier… donc on passe tranquillement! Ouf!!
L’aprem nous décidons d’aller à Ica, une plus grande ville située au nord. Nous passons l’après-midi à découvrir de nombreuses places et petites rues, mais surtout les décombres des bâtiments qui n'ont toujours pas été reconstruits depuis le tremblement de terre de 2007... Malheureusement, les séismes sont très fréquents au Pérou.
Le lendemain direction les dunes de sable de Huacachina pour faire du sendbuggy et du sendboard (planche pour glisser sur le sable). C’était bien sympa!
Le lendemain direction les dunes de sable de Huacachina pour faire du sendbuggy et du sendboard (planche pour glisser sur le sable). C’était bien sympa!
Notre senbuggy dans les dunes de sable
Le 10 janvier, toujours sous une chaleur extrême, nous préférons quitter la ville pour la journée et nous rendre au bord de la mer. On nous parle d’une plage à Paracas (à 1h30 à peu près). Encore toute une aventure pour s’y rendre! On prend le bus pour Pisco, qui nous dépose à l’angle de la route pour cette ville, sur la panaméricaine. On chope un collectivo (taxi partagé) qui nous emmène au centre-ville, et de là nous en reprenons un autre pour Paracas; petite station balnéaire, où nous profitons de la plage.
Le 11 janvier, c’est avec peine que je quitte Anouchka pour rejoindre Lima. Un voyage très mouvementé (décidément!), où, pour faire vite, j’ai failli perdre mon sac, mais ça s’est bien terminé… Heureusement!
Tout un équipement!
Je visite un peu la ville pendant ces quelques jours qu'ils me restent : le centre historique, le Monastère San Francisco et ses catacombes, les Plazas de Armas et San Martin, le parc de la Culture, et celui de la Reserve (avec tout plein de fontaines), le quartier de Barranco, le pont des soupirs, le centre commercial Larco Mar au bord des falaises, retour à Miraflores par la plage, pleins d’autres petits parcs mignons…
Plaza de Armas
Et puis le 14 janvier, pour ma dernière journée au Pérou, je décide d’aller me baigner… Mais le courant est très fort et les plages de galets sont, pour le coup, pas très agréables, car les roches se heurtent sans pitié contre mes chevilles… alors la baignade fut plutôt rapide!
Et le soir, direction l’aéroport pour un retour chez moi le lendemain matin…
Voilà (très rapidement) comment s’est déroulé mon séjour de 3 semaines dans ce magnifique pays où les gens sont adorables, souriants, et accueillants.
Nous avons eu un temps magnifique : les 2 premières semaines en montagne c’était une vingtaine de degrés et un peu de pluie de temps en temps, et la dernière, le long de la côte, c’était la trentaine de degrés sans une goutte de pluie!
L’eau étant non potable, il fallait toujours faire attention à ce qu’on avait comme réserve. J’ai super bien mangé, même si les patates et le riz étaient souvent au rendez-vous!
Le fait d’avoir alterné villes et villages, nous a permis de nous reposer de la folle circulation (ça klaxonne toutes les secondes sans exagérer) et de sa pollution.
Un super voyage que j’aurais bien continué encore quelques mois… mais ce sera pour plus tard! Bonne continuation Nouch!
Mon dernier coucher de soleil sur les plages de Lima
